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Un atelier de travaux d'aiguilles fonctionne à Lesve , au centre de rencontres Jennevaux, rue du centre, 56 à Lesve .
Il a été fondé voici 3 ans par Françoise Hoste et Marie- Louise Corroy (épouse de Jean- Louis Corroy).
Il a lieu tous les premier et troisième mardis de chaque mois ,entre 13h30 et 17h. une participation de 0'50 euro est demandée.
Chacune peut venir y chercher des idées 'couture, tricot, broderie, patchwork....ou partager ses propres réalisations dans ces domaines.
Pour plus de renseignements: contacter Marie -Louise au 081/433306
Bienvenue à toutes les intéressées.
Allez faire un tour sur le blog de Jacques, ceci dit en passant, par curiosité. Cela vaut la peine! Un petit " Clic ! " ci-dessous et vous y êtes... http://commecaenpassant.blogs.lalibre.be/ Bon amusement...
N'oubliez pas notre prochain rendez-vous le jeudi 18
avril.
Journée en Brabant Wallon organisée par
notre ami Jacques Maget.
Avec mon amical
souvenir.
Emile Pirard
"Un ami c'est un livre de chevet dont on a arraché
les dernières pages pour ne jamais en savoir la fin."
François. Notre François.
Passeur de lumière.
Tu t'étais attribué cet humble titre de gloire.
Bien avant la publication du roman de Bernard Tirtiaux.
En riant, tu lui en voulais un peu de t'avoir piqué l'idée.
Passeur de lumière.
Comme cela te va bien.
La lumière du savoir.
Un savoir à haute valeur pédagogique ajoutée,
que tu savais si bien faire passer.
Dans les esprits de tes élèves d'abord.
De tes petits-enfants, ensuite.
Jusqu'aux derniers instants.
Lumière de l'amour.
L'amour qui était le coeur de ta raison.
D'être ou de ne pas être.
Et dont ta pudeur cachait maladroitement les simples richesses.
Lumière de l'amitié aussi.
La pure, la vraie, l'inoxydable.
D'un acier brossé sans clinquant ni artifices.
Celle que tu aimais regarder briller dans les yeux
de ceux qui partageaient la tienne.
Lumière de la poésie.
Celle qui illuminait le regard bienveillant
que tu portais sur les gens et les choses.
Celle que ces gens lisaient en retour dans le tien.
Lumière de la liberté, que tu revendiquais
dans tes incessants combats contre les moulins à vent de la bêtise.
Ton regard prenait alors les reflets implacables de l'intransigeance
propre à l'entièreté de ton caractère.
Lumière tamisée de la générosité quotidienne.
Quoique brillant en maths, dès qu'il s'agissait de donner,
tu ne savais plus compter.
Lumière de la vie, enfin.
Une vie que tu vénérais, et que tu conjuguais toujours
au présent de l'émotif.
Même si c'était parfois à l'imparfait du subjectif.
Il y a quelques jours en évoquant la
fin prochaine de tes douleurs, tu nous réconfortais en nous
disant que, paradoxalement, tu n'avais pas peur.
Tu nous étonnais par ton courage et ta lucidité,
en évoquant l'après, tel que tu le concevais.
Fidèle à tes convictions.
Passeur mais aussi passant.
Au retour de tes particules au cosmos,
d'où tu étais issu,
tu préférais cependant l'image plus végétale
du grand compost universel.
Une continuité des cellules, un passage de relais,
se prolongeant inévitablement dans d'autres vies.
Tu évoquais de possibles et poétiques foyers d'accueil :
arbres centenaires, fleurs sauvages, oiseaux fous ou légères libellules...
Ton dernier pied de nez à la mort.
Celui qui te rend éternel par le passage de ta pensée.
Le passage de ta lumière à ceux qui te suivent et à ceux qui viennent.
Tu as toujours aimé la vie, malgré les coups bas
qu'elle t'a trop souvent porté.
Tu l'as toujours considérée sans haine,
ne haïssant que les malfaisants et les nuisibles.
Tu es parvenu à réaliser le rêve universel
de grandir sans renier ton âme éternelle d'enfant.
Celle qui te permet d'être présent, là, maintenant et
pour toujours, dans la main invisible
que nous sentirons chaque jour sur notre épaule.
Pour ces moments partagés et ces bonheurs maraudés,
Ces brassages d'idées et ces chopes vidées
Ces franches déconnades et ces jolies défaites,
Ces soirs trop arrosés et leurs matins boîteux,
Ces feux d'artifices et ces jours de charbon,
Ces petits sacrifices et ces résurrections.
Au nom de ce monde qu'on a refait mille fois,
Pour être toujours là.
Merci l'ami.
Cher ami de la 124 ,
Hier soir , des amis de Malonne m’ont annoncé le décès de notre ancien professeur : M. Daffe . Je vous joins en annexe l’avis mortuaire paru dans « l’Avenir » de ce jour ( tous les détails y figurent ) .
Véritable mémoire de Saint –Berthuin où il avait réalisé toutes ses études ( secondaires comme régendat ) puis sa carrière professionnelle , Mr Daffe avait gardé fidèlement les traces du passage de tous ses élèves : tous les palmarès , cahiers de cotes , questions d’examens …. étaient soigneusement rangés dans ses archives .
Suite à des problèmes cardiaques , depuis quelques années , Joseph ( puisque c’est ainsi qu’il souhaitait qu’on le nomme ) était membre du Cercle Coronarien de Namur ( comme moi ) . Dans ce club , ce « bon-papa » avait tout de suite conquis tout le monde par son empathie , sa facon de ( ses redoutables blagues en Wallon ) , son optimisme …. ; c’est dans ce cadre que j’avais retrouvé notre ancien professeur ; vous devinez la teneur de beaucoup de nos conversations .
Hélas , cette année , les ennuis de santé se sont succédés ….Le « Crabe » a une fois de plus gagné ce 22 septembre .
Si vous souhaitez manifester votre soutien à la famille , notre ancien professeur vous suggère de réaliser un don à la fondation contre le cancer .
Bien cordialement
Emile
Cela vous rappellera pas mal de souvenirs.
Allez voir sur cette adresse : www.senny.be Cela fera certainement plaisir à Daniel G.
Grand bonjour Michel,
C’est vraiment excitant de pouvoir tout d’un coup renouer avec le passé !
Malgré plusieurs voyages effectués en Belgique, je n’ai jamais eu la chance d’avoir des
nouvelles de la 124ème.
Je me doutais bien qu’il devait exister des soirées de retrouvailles ou des rencontres du genre.
Mais encore me fallait-il trouver quelqu’un qui m’en informerait.
Alors, ce fut tout aussi réconfortant qu’excitant de tomber par hasard sur ton « blog »
Sois certain que j’ai immédiatement placé l’adresse de ton « blog » dans mes favoris !
Pour te résumer ce que je suis devenu…
J’ai immigré au Canada en septembre 1974, et j’ai opté pour la citoyenneté canadienne en 1978.
Après 8 ans d’enseignement, je créais ma propre école de musique (école privée)
qui reçut bientôt 330 élèves et pour laquelle j’engageais une vingtaine de professeurs.
En 1984, je rencontrais Suzanne, une Montréalaise qui allait devenir mon épouse.
L’école de musique, ce fut notre vie des trente dernières années.
Maintenant que je suis « pré-retraité » après avoir vendu cette entreprise,
je m’occupe en travaillant comme gestionnaire pour une compagnie de construction
de complexes de condominiums dans la région de Montréal.
Voilà au très court résumé de ce que je suis devenu.
A bientôt, j’espère !
Bien amicalement,
Daniel
Cher Daniel,
Nous sommes heureux de t'avoir retrouvé enfin!
Voilà plusieurs fois que nous essayons de te contacter mais en vain.
Le hasard a bien fait les choses.
Donne-nous tes coordonnées via cette adresse email= michleroy48@skynet.be
Amitiés